21 septembre 2008
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De la saison été 2009 défilés London, d’extase, de sportchic, et d’incertitude
Vous avez peut-être lu quelque part que la pérennité de la London fashion week était remise en cause. Pas assez de shows marquants, peu de it-rédactrices au poste, et surtout un planning coincé entre Milan et NY, Londres a du plomb dans son aile fashion. On voulait la réduire à 4 jours au risque que les fashionistas passent directement de NY à Milan sans passer par la case London.
Pourtant, ce n’est pas faute de fournir de fameux designer au monde entier, mais les talents anglais si bien formés à la Saint Martins, entre autres, ont une fâcheuse tendance à aller voir l’herbe apparemment plus vert hors d’Angleterre.
Ouf pour Londres, apparemment, un accord a été trouvé, 5 jours dédiés à la capitale anglaise.
Pourtant, c’est triste à dire, mais ce n’est pas cette semaine londonienne qui me rassure.
En effet, si j’ai vu de belles créations, rien ne m’a frappé, rien n’annonce un grand mouvement… sauf peut-être un... et sauf que ce un est Charles Anastase. On a connu plus british….
Charles Anastase, c’est l’extase ! Oui, facile, mais si j’vous promets. D’abord extase des sens avec l’ingénue, ces transparences naïves so sexy en porte jarretelles. Extase de la chemise en jean baggy. Ouii, comme Alex, Charly la remet au goût du jour. Extase des volumes, ça toujours. Entre écolière et fille de joie, un zeste de biker, là, je pleure de ne pas avoir à porter de lunette.
L’été prochain, Luella nous demande d’être très très fan de mini robes, jupes, le tout dans des couleurs très flashy qui ne sont pas sans rappeler celles de Matthew W. Sauf que là, j’adhère moins… Il y a même la casaque rose….
Et zoup, une de plus : encore une chemise en jean, bien large celle-là, chez Mario Schwab.
Là, une fan s’adresse à vous. Stella MacCartney pour Adidas. Son show a l’air d’être une tota éclate et comme je suis une inconditionnelle autant de sport (oui farpaitement) que de Stella for A, je pleure tout mon soul de ne pas y avoir assisté. Compassion, svp.
Julien Macdonald fait des robes assez impressionnantes, enfin, Je suis impressionnée. Hum, quand ce ne sont pas les paillettes, la touche métal semble en vogue cette saison…
J’aime bien les silhouettes de Paul Smith avec le foulard à la taille, le mix délicat d’imprimé, et son style ethnic très british ! Paul Smith tire toujours très bien son épingle du jeu, au jeu de son propre style.
Encore un kimono chez Amanda Wakely, par ailleurs totalement inconnu à mon bataillon de styliste, mais j’aime bien sa collection.
Difficile de passer à coté du défilé de Christopher Kane….
Rien de très subversif ni marquant chez Vivienne Westwood red label.
Les volumes d’ Armand Basi qui jouent avec les transparences sont toujours aussi intéressants, mais je trouve que ça manque d’une histoire. Bilan, je ne vois que de la technique. Il y a quelques détails comme les épaulettes, 80’s, mais rien de très poussé.
Voilà, un post pour Londres m’a suffit, et je le déplore ! Je déplore parce que je suis « so » persuadée que Londres peut et doit nous offrir tellement plus…. Plus de folie, plus de création, plus de peps, plus de tendance, plus, plus plus…. Et encore beaucoup d’humour……
... en terminant avec cette silhouette TopShop Unique
Vous avez peut-être lu quelque part que la pérennité de la London fashion week était remise en cause. Pas assez de shows marquants, peu de it-rédactrices au poste, et surtout un planning coincé entre Milan et NY, Londres a du plomb dans son aile fashion. On voulait la réduire à 4 jours au risque que les fashionistas passent directement de NY à Milan sans passer par la case London.
Pourtant, ce n’est pas faute de fournir de fameux designer au monde entier, mais les talents anglais si bien formés à la Saint Martins, entre autres, ont une fâcheuse tendance à aller voir l’herbe apparemment plus vert hors d’Angleterre.
Ouf pour Londres, apparemment, un accord a été trouvé, 5 jours dédiés à la capitale anglaise.
Pourtant, c’est triste à dire, mais ce n’est pas cette semaine londonienne qui me rassure.
En effet, si j’ai vu de belles créations, rien ne m’a frappé, rien n’annonce un grand mouvement… sauf peut-être un... et sauf que ce un est Charles Anastase. On a connu plus british….
Charles Anastase, c’est l’extase ! Oui, facile, mais si j’vous promets. D’abord extase des sens avec l’ingénue, ces transparences naïves so sexy en porte jarretelles. Extase de la chemise en jean baggy. Ouii, comme Alex, Charly la remet au goût du jour. Extase des volumes, ça toujours. Entre écolière et fille de joie, un zeste de biker, là, je pleure de ne pas avoir à porter de lunette.
L’été prochain, Luella nous demande d’être très très fan de mini robes, jupes, le tout dans des couleurs très flashy qui ne sont pas sans rappeler celles de Matthew W. Sauf que là, j’adhère moins… Il y a même la casaque rose….
Et zoup, une de plus : encore une chemise en jean, bien large celle-là, chez Mario Schwab.
Là, une fan s’adresse à vous. Stella MacCartney pour Adidas. Son show a l’air d’être une tota éclate et comme je suis une inconditionnelle autant de sport (oui farpaitement) que de Stella for A, je pleure tout mon soul de ne pas y avoir assisté. Compassion, svp.
Julien Macdonald fait des robes assez impressionnantes, enfin, Je suis impressionnée. Hum, quand ce ne sont pas les paillettes, la touche métal semble en vogue cette saison…
J’aime bien les silhouettes de Paul Smith avec le foulard à la taille, le mix délicat d’imprimé, et son style ethnic très british ! Paul Smith tire toujours très bien son épingle du jeu, au jeu de son propre style.
Encore un kimono chez Amanda Wakely, par ailleurs totalement inconnu à mon bataillon de styliste, mais j’aime bien sa collection.
Difficile de passer à coté du défilé de Christopher Kane….
Rien de très subversif ni marquant chez Vivienne Westwood red label.
Les volumes d’ Armand Basi qui jouent avec les transparences sont toujours aussi intéressants, mais je trouve que ça manque d’une histoire. Bilan, je ne vois que de la technique. Il y a quelques détails comme les épaulettes, 80’s, mais rien de très poussé.
Voilà, un post pour Londres m’a suffit, et je le déplore ! Je déplore parce que je suis « so » persuadée que Londres peut et doit nous offrir tellement plus…. Plus de folie, plus de création, plus de peps, plus de tendance, plus, plus plus…. Et encore beaucoup d’humour……
... en terminant avec cette silhouette TopShop Unique
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